Au rayon gâteaux,
celui-ci est sur l’étagère des péchés capitaux. Sous son allure assez humble,
il est redoutable. A la frontière entre le gâteau breton bien beurré et la
frangipane, complètement imbibé de rhum brun, s’affinant de jour en jour un peu
plus sous sa coque de glaçage, il se consomme à petites parts – ne pas exagérer
surtout.




Je n’ai jamais goûté
de gâteau Nantais, mais

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