Parce que c’était l‘anniversaire de Béné et qu’il ne faut surtout pas laisser passer ces moments-là, précieux et amicaux. Il y aurait certainement dans le 17 :20 un groupe de voyageurs plus étoffé, prêt à en découdre avec les désormais traditionnelles charcuteries corses,  à faire péter les bouchons, à rire et à chanter. 



Il faudrait peut-être quand même faire un gâteau, me dis-je le soir

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